Société

Alger plein la gueule du cinquantenaire.

ON M APPRENDS LE DÉCÈS DE L ÉCRIVAIN ET POÈTE ABDERRAHMANE ZAKAD

On m’apprend ce matin 06.07.2016 le décès de mon ami Abderrahmane Zakad. Il fut moudjahid, urbaniste, voyageur et a vécu de multiple vies. Il était généreux, partageux, volubile, passionné, malheureux de certaines choses et tendu vers ce qu’il faut faire pour changer les choses. Il a plus vécu ses rêves qu’il ne s’est rêvé une vie. Il a écrit une dizaine de romans, quatre ou cinq recueils de poèmes, plusieurs récits et contes pour les jeunes et les enfants. Il a essayé d’y mettre sa sympathie pour le monde, son amour des gens, son désir de réformes et de transformations sociales. il fut ingénu au point de croire à l’effet de la conscience sur les conduites politiques et sociales.
Il a aimé l’Algérie.
Et certainement quelques femmes sans quoi il n’aurait pu rêver au bord des précipices ni dormi la tête pleine d’étoiles ni partagé sa part de lumière avec les passants.
J’avis écrit à son propos un texte pour parler des 50 ans de notre indépendance que des accords scélérats avec A. Juppé avait réduit à de fades, timides et invisibles commémorations officielles alors que toute la France officielle et germanopratine téléguidaient la plus grande campagne d’accusations/dévalorisations de notre guerre d’indépendance avec pour point d’orgue le fameux colloque de Marseille et le show de BHL déchaîné dans un procès en terrorisme intenté à l’ALn. Procès relayé(s) ici par la presse néocoloniale.
Pour hommage à mon ami mort je republie ce texte que j’ai écrit pour parler à la fois de ce que je ressens de notre indépendance, comme de la vente à la criée de ses livres par Zakad, comme de la deuxième mort du journaliste Belardiouh trahi de son vivant et post-mortem i …
Paix à Zakad sur le long chemin des anges… Mohamed Bouhamidi

Alger plein la gueule du cinquantenaire.

Par Mohamed Bouhamidi.

J’avais choisi le costume… Restait la chemise…

Le col ne devait pas me maigrir… Les rides suffisent à ma vieillesse…. Pas la peine de rajouter un air de vieillard fragile…. Les flics seraient capables de me ménager…

Les cravates sont d’un autre âge. ..Etonnamment belles. Comme les robes de l’entre-deux guerres… Pourquoi les cravates font elles penser aux femmes ? La grise, en soie, aux soupçons bordeaux, elle irait bien. Si on m’arrête on me demandera de l’enlever. D’enlever la ceinture. D’enlever les lacets. Je vais prendre les souliers à lacets. Des Richelieu. Cela s’écrit avec un « s » et une majuscule des Richelieu ? Zakad n’aimera pas mais je m’en fous. Lui, n’achète que des souliers algériens, des Sonipec de l’usine de Chéraga – ou de Tiaret ? – confortables et increvables. Des tracteurs. Moi, je ne les trouve plus. Hors circuit, depuis trop longtemps.

Et puis cela ne collerait pas avec mon idée. À défaut de force pour bousculer les flics, faut que je leur en mette plein la vue à leurs chefs. Je veux dire aux chefs de leurs chefs. Les types qui sapent en milliers d’euros et se baladent endimanchés. ..

L’élégance. Le port du costume. De souliers cirés, impeccables, smart. Alger se porte sur le dos.

Leur disputer le lieu, la ville, son histoire comme on l’a disputé aux autres, aux colons, il y a longtemps. Avec des riens qui nous rendaient l’aisance des princes ou des athlètes. Il y a si longtemps. Rien que des vêtements propres et tout dans la démarche. Et les petits blancs, dans leurs quartiers, dans leur ville, saisissaient l’air de défi… Au pli de la chemisette… Au maintien… A ces riens qui font la différence entre la tête haute et le mimétisme.

Des bicots qui sapaient, ça sentait les armes. Le harnachement du goum(1)… L’élégance comme marque du guerrier. Les bottes brillantes, la selle brodée, la crosse ciselée, les burnous impeccables, l’épée comme un bras et le cheval comme l’écho nerveux de nos désirs. Les goums d’avant la défaite. D’avant les bureaux arabes. D’avant 1847… d’avant… d’avant…

Ceux qui tiennent le pétrole et le conteneur n’ont pas ce métalangage de la sape… Ils n’ont pas besoin de gouverner nos têtes. L’Anti cher (2) n’aurait pas marché. C’est trop clin d’œil, trop codé, trop « entre algérois ». Trop El Badji (3), trop « épervier mon frère » moins sa tendresse, moins le déluge et la tempête, moins un chant désespéré.

Faudra aller sur leur terrain pour leur dire les choses. Pour vendre les livres de Zakad à la criée. Et pour hurler le nom de Belardiouh… Si des gens viennent à la manif pour Belardiouh (4).

C’était pas en Une des journaux. Même pas celle de la presse qui travaille à l’émeute et à l’huile sur le feu. Juste le bouche à oreille. Faudra creuser pour comprendre. Ceux qui ont poussé Belardiouh à la mort, ils aiment les mêmes choses que la presse… l’économie de marché et le climat des affaires… Le climat des affaires, tu parles !… ils savent trouver les mots pour dire on s’arrange autour d’un verre ou d’un poisson… Ça ne va pas marcher, cette manif. Mais je veux en être. Jusqu’à la matraque. Jusqu’à la cellule… Pour un journaliste oublié comme un kleenex. Le pli du pantalon est honnête. L’ourlet à l’ancienne. Juste cassant. Comme j’aime les voir tomber et faire des jambes allongées… Même aux petits gros… L’Anti cher restera sur le cintre.

Ce sera costume-cravate contre costume-cravate et le port fera la différence.

Le port faisait la différence. Nous n’avions plus que la silhouette et nos mères s’acharnaient sur les tissus. Qu’importait la pièce sur le pantalon ou la chemise ? Ils étaient propres. Et nous les « portions si bien ». C’était cela la clé : porter des vêtements propres et les porter « si bien ».

La faim quotidienne et nos courses de vitesse sur les escaliers et les pentes d’Alger nous « raçaient ». Il fallait juste échapper à la gale, à la pelade, à la teigne, à la dartre, au trachome, à la tuberculose et aux « eaux glaciales de l’aube » (5) qui nous laissaient les gerçures en feu…

J’ai envie de faire le tour de la ville et parler aux jeunes. Le colonialisme de rêve qu’on vous raconte et les amourettes des petites pieds-noirs pour les bicots, c’est de la fable pour la reconquête… par la tête. Le souvenir du colonialisme ? La faim, le froid, la maladie, la honte du dénuement, la honte de nos propres frères en haillons, les enfants cireurs agenouillés.

Et puis le racisme. Vous connaissez le racisme ? Intolérable, insupportable ? Qui tue l’âme. Qui vous tue dans votre « en dedans » ? Qui tue tout en vous ? La dignité. Le respect de soi. Le cran de regarder votre aimée à hauteur d’homme. Le racisme qui appelle à leur en mettre plein dedans? Au stade, à l’école, sur le ring, partout où on pouvait leur en remontrer.

Mais pour moi, le premier souvenir qui me revient, c’est le froid. Il habite les flancs, les os, découpe les mains. S’installe dans vos frissons et entre les côtes. Le froid qui vous poursuit à jamais de sa mémoire.

Les vêtements propres c’était cela. Ne pas flancher. Tenir debout. Se relever toujours… Les vêtements c’était une parole des mères pour nous tenir debout. Une métaphore de la résistance.

J’en ai pas parlé à Zakad. Il doit en avoir la mémoire lui aussi. Il a fait le maquis. Il a vécu à Alger. Cette mémoire devrait l’intéresser puisqu’il écrit des romans… La lutte pour la dignité… L’éducation dans le devoir de dignité… Ça vous prépare de sacrés lutteurs.

Et de sacrés militants.

Même s’il en tombait,

même s’ils en flanchaient,

il en restait beaucoup sur les crêtes.

Ça prépare au courage d’avoir faim et de rester digne.

On trouvait déjà tout cela dans Dib. La faim, le froid, la lutte contre la déchéance, la dignité en serrant les dents, la militance, la grève des saisonniers agricoles, la lutte pour la terre, l’alliance de l’administration et des néo-koulouglis (6). Les ressorts de la violence…

cinquante ans après, il n’y a pas mieux encore… en tout cas pas mieux que dans le roman pour dire la condition coloniale… Et puis il y a Z’hor, dans Dib…

Longtemps Z’hor m’a hanté comme métaphore.

Z’hor naissant à ses désirs et enveloppant, de ses palpitations, Omar terrorisé et ravi… Z’hor convoitée par son beau-frère qui convoitait la terre des paysans grévistes… Z’hor défendue par sa sœur qui avait deviné la manœuvre du traître…

Z’hor, en ces circonstances d’incendie social et personnel, sortant de la source ruisselante dans sa robe plaquée et se donnant à voir à Omar pour se laver dans son regard de la souillure du désir incestueux de son beau-frère ?

Z’hor peut-être se donnant à Omar en le prenant ? Rien dans le roman ne le dit. Mais le roman dit autant par ce qu’il ne dit pas.

Z’hor se donnant à Omar pour qu’enfin elle s’appartienne ? Et échappe pour toujours à son beau-frère ? Z’hor, devenant allégorie, de la terre et de la femme. Z’hor devenant …

La condition coloniale, ce n’est pas que la faim de Omar… Le bout de pain obsédant… Et le froid et les miettes de charbons dérobés près des rails. La condition coloniale, c’est la violence… La violence, partout… La violence tout le temps… Qui dit le même et son contraire.

Je n’en ai pas parlé à Samia.

Pas eu le temps.

Pas eu l’occasion…

Fanon lui mangeait son temps avec ce Colloque de juillet… Un colloque comme une constellation polyglotte…L’Esprit Fanon dans son explosion planétaire… Un miracle de guérilla culturelle… un miracle de la volonté contre les moyens… comme pour la caravane… ça me tient à cœur depuis un moment de lui parler de cet autre côté de la violence… comme avilissement de soi.

Comme naufrage.

Comme suicide inaccompli.

Comme trou noir du sens.

Elles savaient les femmes d’Alger, ce trou noir.

Elles en savaient les ruses. Les femmes d’Alger, les indigènes, nos mères. Pas les filles de Delacroix. Elles savaient quel vertige de la déchéance saisissait leurs hommes revenus des docks les mains vides.

Et ce vide dans leur regard d’une force inutile. Cette fureur de leurs muscles impuissants. Le naufrage devant la faim des enfants.

Le naufrage de tout.

De leur dernier refuge.

Quel père peut-on être si on n’assure pas le pain ?

Quelle règle représenter, quelle morale ? Elles les sentaient, ces hommes revenus les mains vides, en proie à leur sentiment de déchéance et ce désir de se tuer. De noyer jusqu’au souvenir de leur dignité d’hommes dans les coups. Les coups comme une transe maléfique.

Les coups pour en sortir hébétés.

La tête brumeuse.

Ravalés à toutes les impuissances. Et cette mort de leur humanité vidée de son sens dans ce sang versé des femmes, dans leurs tuméfactions. L’avilissement définitif duquel les femmes devaient encore les sortir. Encore une fois. Une fois de plus.

Chaque jour elles nous poussaient à sortir de la fange coloniale. A retrouver le chemin de notre humanité.

A nous redresser.

A nous empêcher de sombrer.

A échapper à l’abaissement. Les femmes ne rapiéçaient pas que les vêtements…

Le métalangage du redressement… J’en ai parlé à Abdelatif. Un jour. Je ne sais plus quand ? Je voulais lui dire qu’avant le PPA, le PCA, les Ulémas, les syndicats, c’était les mères qui nous poussaient à résister… Qui nous donnaient l’esprit de la résistance. L’âme de la résistance.

Les partis nous donnaient juste les mots pour dire les circonstances.

J’ai su lui dire ? Lui, il le dit si bien. Juste un e-mail. Et cette mémoire comme un surgissement. Une grenade qu’on dégoupille pour souffler le temps.

« Mohamed je crois que le défi vestimentaire c’était aussi « costume croisé et « chéchia stamboul »(6) et cette inaccessible beauté des femmes, fière et majestueuse, déployant son éclat dans le soyeux ondulé du haik (8) ou cet espace public inamical, hostile et méprisant qui s’étouffait, impuissant, par la grâce du sucrier parfumé au jasmin et au fel (9), estampe imprimée dans la trame imprenable de notre regard, des volutes de café aspergé de mazhar(10) qu’on emportait dans nos narines, tel un élixir du bonheur, du châle, blanc immaculé, enroulant les aiguilles, posé délicatement sur le pouf brodé farouzi (10), de l’inconsolable sanglot de la kouitra (12) étreint par la fascination d’un stikhbar ‘arak (13) , de la poésie naïve et désarmante des berceuses de nos mamans, une infinité de gestes menus et de murmures intimes dispersés dans notre mémoire qui tissaient la toile invisible de notre espace et d’où montait comme une voix de l’espoir qui nous répétait, irrépressible, vas-y, n’aie crainte, va de l’avant tête haute… et je n’en dis pas plus comme dirait Pablo le grand poète andin… ».

Il était ainsi aussi notre poète. Notre musicien… El Anka (14) qui a posé avec d’autres la trame sur laquelle s’est tissé notre âme… Costume cravate… Ou veston cravate… Ou les grandes tenues traditionnelles.

Toujours tiré à quatre épingles. Comme un devoir. Pas qu’El Anka. Les autres aussi dont les photos repassent dans ma tête. Si Ahmed Belarbi et sa haute stature. Si Ahmed Akkache. Aïssat Idir. Rebah Nourredine. Avec cet allant dans leur allure, dans leur regard, dans leur aisance.

Goumen.

Ils étaient les goumens (15) modernes. La métamorphose des cavaliers… les précurseurs de l’épopée. Je croyais inventer quand je mettais mes pieds dans leurs pas…

Cinquante ans d’indépendance, quand même. Quelle avalanche. Tout le monde s’y est mis. Là-bas et ici. Je lis. J’entends. Mais c’est la même histoire qu’on nous serinait déjà avant la guerre. Jamais des bicots ne dirigeront un pays. C’est drôle. Celui qui disait ces mots était un bicot. Un tirailleur de 14/18.

Avec sa médaille.

Il disait aussi que jamais on ne battrait la France. Et il nous racontait Pétain et les canons et les bateaux. Oui, c’est drôle que toute cette alliance de diplômés ne dise pas mieux que le vieux caporal qui avait adopté la saharienne et le casque colonial.

J’en parlerai à Zakad. Tout est en ordre.

J’aime la cravate. Elle est belle. Il est temps d’y aller… Zakad doit déjà y être. La manif pour Belardiouh lui plaisait aussi. Avec le titre de son roman, il serait verni devant un juge… Les amours d’un journaliste… Un jour de manif pour Belardiouh…

Quelque chose tourne dans la tête de Zakad …. Il lit ses poèmes à la cantonade… Il s’édite à compte d’auteur… Il vend ses livres à la criée… il ne veut plus attendre les éditeurs … Il a envie de bouger … son âge lui pèse-t-il ?… je ne pouvais pas le laisser seul… Le policier avait l’air désolé de ma déception… non, il n’y a pas de manifestants… …il me restait les livres à vendre…Là sur ce bout de place et de jardin… au milieu des bouquinistes… et ce costume, ces « Richelieu » et cette cravate pour me manifester… pour ressembler aux éclaireurs…Sid Ahmed Belarbi (16)… Ahmed Akkache(17)… Aïssat Idir(18)… Rebah Nourredine(19)… El Anka… l’épervier mon frère… à qui j’ai envie de crier au-dessus du 5 juillet Ici, c’est la vente exceptionnelle d’un livre par son auteur. Et par son ami. ..au souk improvisé du livre indigène … sur la place qu’on traversait comme des ombres écrasées, furtives et glissantes … Achetez le livre de Zakad…achetez le livre… vous ne le trouverez pas en franchise…achetez le livre…

Mohamed Bouhamidi –

Alger vers novembre / décembre 2012

  1. Goum : formation de base des cavaleries tribales algériennes, dont nous connaissons encore la forme festive de Fantasia. Tribales, car il n‘existait pas de formations militaires permanentes. Les tribus se chargeaient de défendre le territoire en cas de besoin.
  2. Anti Cher marque d’un costume en coton fin, bleu, léger, dit « bleu de Chine » porté par les algérois comme signe distinctif de leur identité citadine, «d’enfants d’Alger » et de leur proximité avec la mer et le port.
  3. El Badji, ancien condamné à mort, poète, compositeur et interprète algérois, adoré des algérois qui trouvaient dans sa verve et sa gouaille une philosophie de la résistance. A laissé, à côté de bien d’autres, deux œuvres profondes de compassion et d’amour connues et aimée de tous les algérois et algériens : « Ô charmant chardonneret » et « Mer des tempêtes ».
  1. Les algérois lui ont gardé en surnom l’expression « khouya el baz », « Mon frère l’épervier », clin d’œil à une autre œuvre poétique qui parle de l’épervier perdu à la chasse et de la douleur de la perte.
  1. Journaliste algérien persécuté par les barons de la contrebande et de la corruption et abandonné à ses seuls forces, suicidé par désespoir
  2. Vers d’un poème de Bachir Hadja Ali dirigeant du PCA (Parti Communiste Algérien ) et du PAGS
  3. Koulouglis : désigne les algériens nés d’ascendants turcs et indigènes mêlés.
  4. Chéchia stamboul (d’Istamboul) : coiffe rouge appelé aussi Fès hérité des ottomans dont la taille et la forme correspondait à un statut social. Le costume croisé (européen) et la chéchia stamboul autochtone contradictoires, marque d’une transition historique, se portaient par des citadins aisés, socialement, culturellement et politiquement actifs et qui formèrent le terreau des luttes nationales.
  5. Voile blanc dont se couvraient entièrement les algéroises pour leurs déplacements dans l’espace public.
  6. Une espèce proche du jasmin.
  7. Eau de fleur d’oranger
  8. Un ton de rose très prisé des algéroises et probablement marque du « bon goût » algérois ancestral.
  9. Instrument traditionnel à cordes de la musique andalouse (luth à manche courte).
  10. Un de ces préludes ravissants de la musique andalouse
  11. Immense acteur culturel algérien, poète, interprète et compositeur algérois, créateur d’un genre musical qui alliera modernisation de la chanson religieuse ( Medh ou louanges), héritage andalou, musique noire américaine, rythmes confrériques berbéro-africains dont l’œuvre a quasiment créé un contre feu national au travail colonial de déculturation des algérois en particulier et des citadins des autres villes en général.
  12. Membre d’un goum dont l’habit, le maintien, le port était synonymes de prestance et d’allant.
  13. Belarbi Ahmed, précurseur du mouvement communiste en Algérie,.
  14. Ahmed Akkache, dirigeant du PCA
  15. Aissat idir militant du PPA, puis du FLN, fondateur et premier Secrétaire Général de l’Union Générale des Travailleurs Algériens, mort sous la torture.
  16. Noureddine Rebah, dirigeant des jeunesses communistes algériennes, mort au maquis.

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