D ’après le soir d’Algérie du 17/08/2016 un front de mer de 20 km sera réalisé à Mostaganem ce sera le « front de mer le plus long du pays » allant de sidi el mejdoub à Stidia. L’article conclu » les retombées et les dividendes notamment en matière de commerce et de prestation de services qui ne tarderont pas à s’y greffer, n’en seront qu’appréciables et substantielle. En réalité on a conçu l’aménagement du territoire en fonction des voeux des affairistes. Il est possible que certains affairistes ont déjas achetés les lots de terrains pour y construire hôtels restaurants…Qu’est devenue la salamandre ? Du béton et des blocs de pierres d’une nécropole numide, de la saleté sur les trottoirs, entre les blocs de pierres, et jusque dans l’eau. L’ancienne Salamandre que chantaient les artistes a disparue, disparue les habitations pieds dans l’eau, disparue la petite maison sur pilotis, disparue les petites criques. Au lieu de 20 km de béton, j’aurai imaginé 20 km de camps pour recevoir des campings familiaux ainsi que des camping pour des jeunes,y compris campings pour touristes étrangers, des campings aménagés (électricité, eau, toilettes, espaces cuisine, points de ventes…). Avec une animation culturelle durant tout l’été, en faisant en sorte que ces camps ne deviennent pas la propriété des requins mais soient gérés par des organismes :(associations, mutuelles de travailleurs, associations de chômeurs….Avec une telle politique les algériens se bousculeront moins à la frontière tunisienne. On préservera ainsi les rares endroits restés encore vierges. Avec l’argent d’un tel front de mer on peu mieux faire que du « tape à l’oeil », il y a à sauver un patrimoine historique, vieux parfois de plusieurs siecles et qui menace ruine dans les vieux quartiers de tigtitt, el derb…Il y à du vieux bati certain édifices datent de la période ottomanes. Ce sont ces quartiers restaurés qui attireront les touristes y compris étrangers, puisqu’il est question d’engranger des devises.
Abed M