Société

Après les menaces, Madani Mezrag courtise Bouteflika

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Ainsi ce sieur tueur, (au moins d’un jeune du service national dont il a reconnu les faits en public dans une interview )cet ex chef d’une armée criminelle qui avait mis le pays à feu et a sang ,fait le coq et la poule en un tour de main comme une marionnette dont on n’arrive pas a situer exactement qui détient sa ficelle et la fait jouer aussi sordidement et piètrement

Le coq quand dans une interview donnée à la chaine privée El Watan ,Madani Mezrag ,menace le président de la république et le défie d’interdire le parti qu’il prépare pour assassiner l’Algérie

Et la poule quand quelques jours après manquant de grains peut etre (car il faudrait se rapprocher de prés et regarder de quoi il vit ce sinistre quidam et dans quelle mains il picore) il se rebiffe et voudrait seulement conseiller le président, comment le laisser avec sa nébuleuse islamiste intégriste, achever pour de bon la république et l’état national (sic)

Mais c’est devant le juge qu’il doit atterrir pardi, si on suppose que la chaine El Watan a enfreint la loi, lui il a fait autant et plus , c’est un criminel qui se dit n’avoir jamais demandé pardon pour son crime et que c’est la république qui doit lui présenter ses excuses après qu’il l’ai agressé et tué ses meilleurs enfants !

Tantôt coq tantôt poule c’est connu de la duplicité des intégristes islamistes mais disons le aussi, de ceux qui les écoutent les manipulent et ont font des interlocuteurs privilégiés, c’est la même matrice idéologique !

Cette basse cour est mortellement venimeuse pour le corps sain de la république ! Pour que cesse cette représentation macabre !!!! baisser le rideau allumez les lumières

Fateh Agrane


Après les menaces, Madani Mezrag courtise Bouteflika

L’ancien émir de l’armée islamique du salut (AIS), Madani Mezrag, a décidé de « retirer » ses propos dans lesquels il avait menacé le président Bouteflika, au cours d’une émission diffusée samedi dernier par la chaîne de télévision privée El watan-TV.

« Je retire mes pr opos concernant la riposte forte que j’ai préparée pour le président et j’ai décidé d’écrire une lettre pour conseiller au président de respecter ses engagement… » a rapporté aujourd’hui le quotidien El Khabar sur son site web, en citant une lettre de Madani Mezrag.

Pendant ce temps, entre les menaces et les excuses, la chaîne de télévision concernée a été fermée et ses journalistes passés à tabac.

El Watan du 17 09 2015

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