Oussama Ben Laden, a été l’agent des USA utilisé pour combattre les soviétiques en Afghanistan. Les (américains) où Yankée, comme on les appelle, parlaient de lui en termes élogieux, le finançaient, l’armaient et le glorifiaient dans leurs journaux
Ben Laden recrutait aussi des algériens intégristes islamistes pour les former au terrorisme en Afghanistan.L’argent coulait à flots, ces « combattants afghans » sont revenus quelques années après mettre à feu et à sang notre pays !
Oui ce fut l’œuvre d’un plan impérialiste global destructeur. Notre pays était aussi visé. La suite nous la connaissons tous.
Ce plan incluait aussi les pays arabes qui se sont opposés au plan sioniste dans la région. Souvenons nous bien des cinq pays qui avaient constitué « le front du refus et de la fermeté » « Djabhete Essoumoude wa ettassadi » après la visite de Anwar Essadate en Israël et la normalisation des relations diplomatiques entre les deux pays. Ces pays se sont la LIBYE ,l’IRAK, la SYRIE ,le YEMEN et l’ALGERIE. Nous constatons ce qu’ils sont devenus aujourd’hui et ce que nous avons subi en Algérie. Le poète palestinien Mahmoud Derwiche l’a bien observé et si bien déclamé dans un de ses superbes poèmes où il disait »Amrica attaOUNE WA ATTAOUNE Amrica, les USA sont la peste et la peste c’est les USA
Oussama————-Quand Ben Laden était considéré comme le héros de l’Amérique…
ben laden-the independentPhoto de Ben Laden publiée par The Independent, en 1993: «Le guerrier anti-soviétique met son armée sur la route de la paix»
Ce profil ahurissant de Ben Laden est sorti il y a exactement 20 ans, aujourd’hui
Business Insider, 6 décembre 2013
Cet article du 6 décembre 1993, par Robert Fisk du [journal] The Independent avec le titre «Le guerrier anti-soviétique met son armée sur la route de la paix» est étonnant à considérer 20 ans plus tard.
Oussama ben Laden, fraîchement débarqué de la victoire des moudjahidins soutenus par les USA contre la Russie en 1989, a ramené ses hommes, ses matériaux, et de l’argent vers le Soudan, apparemment pour commencer des projets de travaux publics.
Lorsqu’on lui a demandé si c’étaient des camps d’entraînement de militants, l’ « entrepreneur d’Arabie » et futur leader d’Al-Qaïda dit à Fisk: « Je suis un ingénieur de la construction et un agronome. Si j’avais des camps d’entraînement ici, au Soudan, je ne pourrais pas faire ce travail. ».
La pièce est fascinante, parce que c’est le profil positif d’un homme qui allait devenir un cerveau terroriste mondial.
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